La “Route de la corruption et du gaspillage” célèbre son édition bilingue “Français-Espagnol”
Samedi prochain, le 26 octobre, aura lieu à Valencia, la première éditionbilingüe (Fr-Cs) de la *Route du Gaspillage* mondialement connue comme la “Ruta del Despilfarro”
Cette édition s’ est preparée en réponse à l’ intérêt croissant desmedias francophones aux phénomènes de corruption et degaspillage des fonds publics de notre ville et aussi capitale de la región valencienne, mais aussi dû ànotre propre intérêt journalistique collectif afin de rapprocher les citoyens francophones résidants d’une réalité bien souvent méconnue puisqu’elle est écartée de la propagande touristique institutionelle, faisant pourtant bien partie de notre présent, et plus spécialement, de notre futur.
L’itinéraire pour cette ocasión, parcourra les “points noirs” de la ville et périphéries les plus surprenants et qui sont fautifs de l’ endettent national (puisque nous sommes la troisième ville et la première région les plus endettées, proportionellement à sa population) Nous raconterons aussi les cas les plus remarcables de corruption qui ont mené à l’engorgement des Tribunaux valenciens par des causes interminables de procédures suspendues, dont quelques-unes se célèbreront bientôt.
Itinéraire de la Route
1.- Les Corts Valencianes. La Coure de Valence
L’origine de la corruption et du gaspillage du bien publique est le reflet actuel du Parlement valencien, qui compte avec un nombre très élevé de diputés imputés, autant écartés que fortement répudiés; mais aussi avec d’autres types de coûts et oeuvres innecessaires qui laissent sousçonner l’actitude exemplaire des hommes politiques qui nous gouvernent.
2.- El Colegio 103 y los “barracones escolares”. L’école 103 et les barraques scolaires.
Le contaste entre l’abandon de cette école publique, fabriquée avec des containers et qui attend son transfert depuis cinq ans, avec le gaspillage des grands actes et la Cité des Sciences qui entourent le quartier, n’aide forcément pas l’ opinión publique internationnale à avoir une bonne à la Mairie ni à la Conselleria de cela.
3.- La America’s Cup. La Coupe Amérique
Un tour à côté de la bord de côte du port remodelé avec un coût très élevé pour y célébrer des regates de luxe que personne ne garantie que cela pourra de nouveau se faire à Valencia.
4.- El Circuito de Fórmula 1. Le circuit de Formule 1.
Plusieurs centaines de million d’euros ont servi à construire ce circuit avec une redevance annuelle insoutenable pour une ville surendétée, qui ont provoqué l’indignation d’une bonne partie de la citoyenneté afectée par la crise.
5.- Ciudad de las Artes y las Ciencias. Cité des Arts et des Sciences
Le nouveau skyline touristique de la ville et de la communauté lancé lors de la décennie des grands Evènements par les dirigeants Populaires et qui ont réussi à quadrupler les déjà très élevés coûts, à grossir le compte en banque suisse de l’architecte Calatrava et à ruiner d’autant plus les futures inversions publiques, dans le but finalement annoncé de leur prochaine privatisation.
6.- EMARSA.
Visite de la plus grande dépuratrice d’eaux résiduaires d’Espagne dont les devis de plus de 40 millions déviés aux poches des dirigeants et au financement du parti gouvernant, n’ont toujours pas été “dépurés”-curieusement- d’aucune responsabilité politique.
7.- Ampliación del Puerto- La Punta. Prolongation du port – La Punta.
Contemplation del 700.000 mètres carrés de plaine maraîchère protégée, expropiée puis dévastée par les atorités municipales et nationnales, sous prétexte d’une priorité économique suposée afin de prolonger la zone portuaire (ZAL) de Valencia. Huit ans après, il n’y pas un seul mètre édifié, sinon un terrain en friche, plus de 200 millions gaspillés, une communité traumatisée et une sentence judiciaire qui remets en question fortement cette opération.
8.- Hospital “La Fé”-Hopital “La Fé.”
Une cité hospialière planifiée et construite en pleine efervescence des privatisations de la Santé Publique par des dirigeants avec intérêt sur la Santé Privée, sans achever ni respecter de nombreuses normes de sécurité et adéquation des espaces et qui a abandoné absolument des instalations sanitaires prestigieuses.
9.- Ciudad Ros Casares. Cité Ros Casares.
Une véritable ville fantôme, fruit de la spéculation immobilière et ambition d’hommes politiques qui n’ont eu aucun problème moral à l’heure de faire payer aux citoyens leurs propres erreurs et mensonges de propagandes. Plus de 220 millions qu’ assumera le FROB face au 10 % infime de “lofts” et établisements en location, une équipe feminine de basket leader en Espagne démantelée et un silence des massmédias partout.
10.- Complejo Administrativo “9 d’Octubre”. Complex administratif “9 D’octubre”.
L’ancienne prison Modèle, au lieu de se remplir de responsables politiques du pillage des finances, elle va héberger 4.000 functionnaires autonomiques, en même temps que la Generalitat a licencié près de 5.000 employés et a procédé à démanteler les services et prestations à la citoyenneté!
11.- El “Nou Mestalla”. Le “nouveau Mestalla”
Autre absurdité de la caste politique: la construction du futur stade de football duValencia C.F. encore, à ce jour, inachevé. Cette investissement correspond à 250 millions d’euros, le double en conséquent, une fois fini. Le sens profound de cette apparente volonté sportive des fans du Valencia, n’est autre que l’ interêt spéculatif que cachent le tissu industriel et le support electoral gouvernant.
12.- Canal Nou- RTVV. Canal 9-Radio et Television Valencien.
La radio et télévision autonomique, crée il y a 25 ans, a été le joujou préféré des partis gobernants. Le favoritisme, surcoûts, programes externes…, ont payé les faveurs reçues de journalistes affins qui ont fini par ruiner les finances avec un endêtement impayable suivi du plus grand licenciement collectif de l’histoire des entreprises publiques valenciennes, et qui es aujourd’hui encore, remis en cause dans les tribunaux.